Plusieurs scénettes aux personnages différents entre humour potache et cruelle solitude : les aléas de l’infidélité…

S’il y a une chose que l’on retient c’est que le film ose le délire sexuel. Il en ressort des situations, un comique un peu gras qui fait rire. Le format permet de voir les acteurs passer d’un rôle léger à un rôle plus sérieux, dramatique et ils s’en sortent bien. Ils s’amusent, nous aussi ! Ne serait-ce qu’avec leurs costumes : Dujardin en ancien adolescent avec gélification capillaire, c’est quelque chose.

Ayant parfois du mal avec lui, ici pas de problèmes !

Mise à part les histoires très courte, drôles et assez neutres, j’ai préféré les histoires qui ne se terminaient pas bien, car semblaient plus réalistes.

Quelques fois la caricature, qui permet de faire rire, lasse car on en revient toujours à la même idée : l’infidèle a un bon fond, est touchant et souffrirait plus que la personne qu’il trompe etc… Y a un moment c’est juste un salop et faudrait pas en faire des tonnes quoi !

Avec les différentes bandes annonces, j’avais déjà vu deux scénettes entières et une bonne partie d’une autre : soit une bonne partie du film… Dommage !

Visuellement c’est sympa, deux trois chansons agréables, une réalisation plutôt de qualité. Une fin prévisible mais souriante.

Bref, c’est potache, sans plus.

Vu le 11/03/12. Sorti le 29/02/12. (1h50)