Robot and Frank

Frank a quelques soucis de mémoire. Son fils lui achète un majordome robot…

Avec ses allures modestes, le film offre un mélange intéressant ! Tout d’abord, et c’est important, on ne tombe pas dans du fantastique larmoyant où d’un coup une âme serait insufflée au robot… C’est un objet sans vie : il est programmé.

C’est ainsi que cette relation, entre ce vieil homme ronchon aux habitudes faussées par ses pertes de mémoire et ce robot, en arrive à être touchante. Se prendre d’affection, d’amitié dans un objet qui n’en connaitra jamais que la définition…

Bien entendu, cette relation un peu spéciale offre son lot d’amusement depuis les débuts difficiles de la cohabitation jusqu’à l’utilisation que fait Frank de son robot sans oublier son passé, ses enfants…

S’il est amusant de retrouver Sarandon au cinéma, Tyler en fille à papa défendant de grandes causes, on retient surtout la prestation de Langella. Il campe presque parfaitement le personnage et nous fait croire en la possible existence, dans un futur proche, de ce type de robot. Robot, qui sous ses aspects cheap, est un vrai personnage grâce à son doublage de qualité !

Le film met un peu de temps à démarrer : rien de perturbant. Comme le petit truc que l’on découvre à la fin qui pour moi n’apporte pas grand-chose…

Bref, fallait y penser. Une jolie mise en scène, des personnages qui donnent le sourire : sympa !

Vu en VOst le 25/09/12. Sorti le 19/05/12. (1h25)

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  • Publication publiée :26 septembre 2012
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